My LIFT in a few words

Yoan BlancSat, 10 Feb 2007

During the past three days I attended to the LIFT conference at Geneva (Switzerland). It was a taught time, I was really tired yesterday night. So, to close this experience I’ll try to give how I lived, what I learned from these days.

I’m a little guy, this was my mood quiting Geneva. I know nothing and everything is open in front of me to gain more working relationship experiences, to become a better minded developer. I got there some key that will help me having a bigger scope, to think more globally.

The first day, someone pointed out that the room where the social web conference happened was full of people in suits and that the bohemians were in the other one where people are talking about our future, beyond the technologies. I think I belong to the second one (in fact I was there). I think that business comes after the product like a gift. As sex comes after love to be good sex, sex that worth, that is pleasant.

People that were there are just guys who followed their dreams, theirs ideas. Respecting myself and the others is a way to get more freedom, to not being stuck in a thing I don’t like, no? (This reminds me a workshop about Creativity)

Like after a movie, I don’t to talk about the movie but what this movie made me feel, what things I reminded, learned about myself during it. I didn’t speak about the LIFT conference itself, sorry for people I cheated with this title.

In conclusion for me, be yourself, know yourself, trust yourself and think globaly.

Cette semaine s’est tenue à Genève la conférence LIFT, brillamment orchestrée par l’union de Ballpark et Bread and Butter ainsi que d’autres passionnés. Ça a été d’intéressantes mais néanmoins d’éprouvantes journées.

J’ai quitté ces lieux avec un sentiment de petitesse, de n’être qu’un point dans la masse, de (au fond) ne rien connaître, de n’être qu’aux prémisses de ce qui m’attendait. C’est une sentiment particulier mais plaisant car la suite est un renversement complet de ses valeurs ce que l’on croyait jusque là, rien n’est plus vrai dès à présent. J’avais ressenti le même sentiment lorsque j’eus quitté l’école de musique pour intégrer une fanfare (j’avais alors 8 ou 9 ans). La fin d’une école n’est pas l’aboutissement d’un apprentissage mais son commencement.

Les personnes présentes, conférenciers ou non qui m’ont touché, sont celles qui ont suivi leurs rêves, leurs envies, sans avoir l’objectif du business, non du quantitatif mais du qualitatif même si l’un conduit à l’autre et/ou inversement.

De se sentir moindre, de m’être senti petit m’a ouvert le champ de vision sur du plus global, du plus véritable. Ces jours m’ont permis un peu d’introspection voire ont forcé celle-ci.

Et mes excuses pour ne pas ou peu parlé de LIFT en lui même. Je n’aime pas parler du contenu d’un film que je viens de voir et préfère exprimer ce qu’il m’a fait ressentir. C’était donc mes ressentis suite à LIFT.

Chacun cherche son quelque chose, commencez par fouiller vos poches !